Ecrans du risques.
Le symbole de cette jeunesse en désarroi est incarné à l'écran par l'acteur "James Dean" mort prématurément à l'age de 24 ans.
Il symbolisait le jeune incompris des adultes (et même de son père). Il commença à tourner avec Elia Kazan dans "A l'est de l'Eden", puis ce fut le film-culte "la fureur de vivre" qui bouleversa et bouleverse toujours les adolescents, où l'acteur James Dean incarne le personnage d'un jeune garçon qui gagne une course automobile improvisée sur une route ouverte, contre son rival.
James Dean
Puis ce sera le film "le géant", qu'il tourne l'année de sa mort, en 1956.
Comme le montre ces films, les conduites à risque ne sont pas que
d'aujourd'hui, et concernent même un pays riche comme les États-Unis,
elles caractérisent une jeunesse qui doit s'insérer dans un monde de
plus en plus inconnu qui ne fait guère de place à ses jeunes.
Certains
sont plus vulnérables que d'autres (ceux qui n'ont pas de diplômes par
exemple, petits, noirs... ) et se trouvent en grande souffrance devant
laquelle les adultes ont le devoir de faire quelque chose pour
accueillir ces jeunes sans discrimination.